La gouvernance de l'IA

#IA Construire ensemble un futur positif

Étape 3 sur 3
Publication 15/07/2021 - 15/12/2022
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  • +15 janvier 2050, l’an 1 de notre nouvelle Démo-créatie, je suis dans mon salon et je profite de ce nouvel état, non-emploi constant, ou encore de créativité permanente comme je l’avais moi-même défendu, imaginé même. Cela faisait 30 ans que j’avais conçu, itéré, peaufiné cette intelligence artificielle qui aujourd’hui me laissait à mon désoeuvrement, face à moi-même. Alors oui, il n’y a plus ni guerre, ni lutte de pouvoir, ni combat pour maîtriser l’énergie. L’IA nous avait libéré de toutes les tâches répétitives, besogneuses pour laisser place à un état permanent de créativité. Vertige… Que faire de tout ce temps ? Quoi créer ? Quelles relations nouvelles tisser avec les gens qui m’entourent ? Un ballon heurte la fenêtre et me sort de ma torpeur. Des enfants jouent sur la place qui jouxte mon habitation. Ils n’ont jamais connu le travail, eux. Ils ne le connaitront jamais. Ce qui me frappe alors c’est qu’ils jouent : ils inventent leurs règles, ils créent des mondes, des univers. Ils rient, tout simplement. C’est bien ça qui nous différencie de l’IA. Cette capacité à créer, inventer. Ce sont les sentiments, c’est la joie, l’insouciance. Je pense à ces enfants, vierges du monde démocratique qui a laissé sa place à une nouvelle gouvernance.
  • +
  • +Cette idée me frappe, me fige et me rend soudain heureux. J’avais trouvé ma dernière mission. Pour passer à l’étape suivante, il me restait à porter ce message au monde entier : l’espoir nouveau de ce monde viendrait de notre jeunesse, de sa candeur. Pour la première fois dans l’humanité, ceux de qui nous allons apprendre, sont nos enfants.
  • +
  • +Raphael Bosch-Joubert, Antoine Clemenceau, Clement Oberlin
  • +gid://initial/Decidim::Hashtag/4/_IA
  • +15 janvier 2050, l’an 1 de notre nouvelle Démo-créatie, je suis dans mon salon et je profite de ce nouvel état, non-emploi constant, ou encore de créativité permanente comme je l’avais moi-même défendu, imaginé même. Cela faisait 30 ans que j’avais conçu, itéré, peaufiné cette intelligence artificielle qui aujourd’hui me laissait à mon désoeuvrement, face à moi-même. Alors oui, il n’y a plus ni guerre, ni lutte de pouvoir, ni combat pour maîtriser l’énergie. L’IA nous avait libéré de toutes les tâches répétitives, besogneuses pour laisser place à un état permanent de créativité. Vertige… Que faire de tout ce temps ? Quoi créer ? Quelles relations nouvelles tisser avec les gens qui m’entourent ? Un ballon heurte la fenêtre et me sort de ma torpeur. Des enfants jouent sur la place qui jouxte mon habitation. Ils n’ont jamais connu le travail, eux. Ils ne le connaitront jamais. Ce qui me frappe alors c’est qu’ils jouent : ils inventent leurs règles, ils créent des mondes, des univers. Ils rient, tout simplement. C’est bien ça qui nous différencie de l’IA. Cette capacité à créer, inventer. Ce sont les sentiments, c’est la joie, l’insouciance. Je pense à ces enfants, vierges du monde démocratique qui a laissé sa place à une nouvelle gouvernance.
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  • +Cette idée me frappe, me fige et me rend soudain heureux. J’avais trouvé ma dernière mission. Pour passer à l’étape suivante, il me restait à porter ce message au monde entier : l’espoir nouveau de ce monde viendrait de notre jeunesse, de sa candeur. Pour la première fois dans l’humanité, ceux de qui nous allons apprendre, sont nos enfants.
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  • +15 janvier 2050, l’an 1 de notre nouvelle Démo-créatie, je suis dans mon salon et je profite de ce nouvel état, non-emploi constant, ou encore de créativité permanente comme je l’avais moi-même défendu, imaginé même. Cela faisait 30 ans que j’avais conçu, itéré, peaufiné cette intelligence artificielle qui aujourd’hui me laissait à mon désoeuvrement, face à moi-même. Alors oui, il n’y a plus ni guerre, ni lutte de pouvoir, ni combat pour maîtriser l’énergie. L’IA nous avait libéré de toutes les tâches répétitives, besogneuses pour laisser place à un état permanent de créativité. Vertige… Que faire de tout ce temps ? Quoi créer ? Quelles relations nouvelles tisser avec les gens qui m’entourent ? Un ballon heurte la fenêtre et me sort de ma torpeur. Des enfants jouent sur la place qui jouxte mon habitation. Ils n’ont jamais connu le travail, eux. Ils ne le connaitront jamais. Ce qui me frappe alors c’est qu’ils jouent : ils inventent leurs règles, ils créent des mondes, des univers. Ils rient, tout simplement. C’est bien ça qui nous différencie de l’IA. Cette capacité à créer, inventer. Ce sont les sentiments, c’est la joie, l’insouciance. Je pense à ces enfants, vierges du monde démocratique qui a laissé sa place à une nouvelle gouvernance.
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  • +Cette idée me frappe, me fige et me rend soudain heureux. J’avais trouvé ma dernière mission. Pour passer à l’étape suivante, il me restait à porter ce message au monde entier : l’espoir nouveau de ce monde viendrait de notre jeunesse, de sa candeur. Pour la première fois dans l’humanité, ceux de qui nous allons apprendre, sont nos enfants.
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  • +Raphael Bosch-Joubert, Antoine Clemenceau, Clement Oberlin
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Auteur de la version
author-avatar Samuel Capitant
Version créée le 16/12/2021 09:23