Les imaginaires de la biodiversité
#TransitionÉcologique Construire ensemble un futur positif
Scène 1. (Max)
Un homme seul dans un lit. Il se réveille (il est ébloui). Son environnement est lumineux. De la verdure tout autour de lui. Un mur entièrement végétalisé. Un autre (mur) avec une surface brillante et blanche. Il se demande ce que cela fait là. Puis, il se tourne vers la fenêtre et il tire sur la poignée et, d’un coup, un mécanisme insoupçonné s’enclenche, ouvrant à la fois la fenêtre, déployant une terrasse en bois et faisant disparaître le toit.
L’homme se dit : “Tiens, que fait l’horloge de Mémé là ?”
Un envol de papillon, les oiseaux qui chantent et surtout un océan d’arbres, tel un brocoli géant. Et soudain, la Tour Eiffel (Notre Dame) est là ! “Mais, je suis à Paris ?” Un âne brait. C’est la stupéfaction.
Scène 2.
La porte coulisse et Benoît (son ami) rentre. Sans rien dire, ils tombent dans les bras l’un de l’autre.
Max demande : “Que m’est-il arrivé ? Je pense que je suis chez moi, mais ce n’est pas pareil.”
Benoît lui tend un verre de jus (vert) : “Tu as eu un accident et on a eu peur de te perdre mais tu es là. Par contre, il s’est passé pas mal de choses en 15 ans.”
Max : “15 ans ?”
Ben : “Oui. Le plus simple c’est que je te montre.”
Scène 3.
Ils sont dans la rue, très végétalisée, mais la lumière naturelle passe. L’air est doux, malgré que l’on soit en août, il y a même un vent frais. Le sol n’est plus en goudron, ce sont des panneaux, des canaux où l’eau circule. Et on entend un léger bourdonnement.
Benoît : “Ah ! Justement ! Il me faut du miel !”
Il rentre dans une boutique d’un apiculteur urbain.
Scène 4.
Max pose des questions sur ce que sont devenus ses proches.
Benoît : “Alors, Tata Jacquelin est à Bordeaux, et elle vient de passer Manager des vergers de la ville. 500 000 arbres fruitiers, ce n’est pas rien ! Mes parents vont bien. Ils sont dans le Jura. Ils créent et recyclent des jeux en bois.
Max : “Ah ben sympa pour moi ! Ils viennent pas me voir ?
Ben : “Ben si ! Ils seront là 16, comme tous les jours. Tu sais, les transports, c’est plus pareil. On met 15 minutes pour aller à Marseille.
Ils montent dans un “transport futuriste” ou tramway.
Max : “Et mon petit frère ? Je veux bien que les choses aient changé, mais il n’a pas pas pu changer de domaine au point de lâcher la voiture !”
Ben : “Bah c’est vrai ! Mais il recycle les carcasses pour en faire des voitures polluantes d’autopartage.”
Scène 5.
Max : “Mais Ben, tout a changé ?”
Ben : “Oui !”
Max : “Mais comment ?”
Ben : “Assieds-toi. Tu vas pas en croire tes oreilles…”
Annelise, Sébastien et Myriam
#TransitionÉcologique
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